Le
progrès ne saurait être une idéologie en soi, l'essence définitive
d'un parti politique ou d'un courant de pensée, des traits de
l'esprit à jamais lancés vers l'avenir, et comme transperçant
l'histoire machinalement, et que nul ne chercherait plus à empêcher
à moins d'être animé de malfaisance... En réalité, le progrès
se reconnaît d'abord aux signes de la vigueur : à la vie aux heures
de l'impérieuse détermination, quand elle s'investit soudainement
dans les êtres les plus soucieux de la transformer. Le progrès est
seulement le monopole de la vitalité, de cet éclat qui autorise les
hommes à tout envisager : n'importe quelle trajectoire par-delà les
croyances... Idées et solutions forment l'hypoderme au travers
duquel on déchiffre l'effervescence ou l'inertie d'un corps, un
désir de prolonger son existence ou d'en finir avec lui.
trucage la foto ?
RépondreSupprimerabsolument presque pas...
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